Heroes
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 Mark Townsend [Terminé]

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2 participants
AuteurMessage
Mark Townsend

Mark Townsend


Nombre de messages : 48
Age : 32
Adresse : Soho
Pouvoir : Aimant Humain [Maîtrise des élèments métalliques]
Date d'inscription : 26/11/2007

Mark Townsend [Terminé] Empty
MessageSujet: Mark Townsend [Terminé]   Mark Townsend [Terminé] Icon_minitimeMer 28 Nov - 9:32

Nom : Townsend
Prénom : Mark
Surnom : / ( A déterminer Smile )
Age : 25 Ans
Travail : Homme d'affaire
Quartier: Soho
Pouvoir: Aimant humain. Capacité à contrôler les métaux.




Histoire

*

Si enfance aisée et facile rimait avec vie heureuse, l’histoire de Mark Townsend serait probablement bien différente.

*

En parlant de vie facile, c’est vraiment peu par rapport à l’enfance que Mark a connu. Il est né à New York mais n’y a pas toujours vécu. C’est dans un véritable manoir aux alentours de la Big Apple, que le jeune homme grandit, au côté de ses parents, assez protecteurs. Il ne les a d’ailleurs jamais aimé, il les a toujours évités au maximum. On pouvait d’ailleurs dire que sa relation avec son majordome était plus existante que celle avec son père, un homme autoritaire et parfois borné et incompréhensif. C’était d’ailleurs en raison du désir de conforter sa fortune absolument extraordinaire et de l’étendre qu’il n’avait jamais de temps à consacrer à son fils. Sa mère les quitta très tôt, visiblement atteinte d’une maladie très rare qu’elle avait mystérieusement refoulée très tard et que tous les médecins du pays n’avaient réussi à soigner, ni même à en connaître l’origine.
Le jeune homme avait donc grandi auprès de majordomes, et autres employés de son fortuné père. Mais il était une chose qui rapprochait tout de même le jeune homme de son père, ce même paternel ne lui refusait rien. Cela pouvait atteindre des sommes aussi étonnantes qu’impressionnantes du point de vue de la valeur et du prix.

Voitures les plus chères, et même des bateaux aux prix ahurissants, les vacances de Mark devaient être bien divertissantes. Mais le père, aveuglé par sa carte de crédit et son compte en banque, ne voyait pas qu’il détruisait son fils de cette manière, un fils qui n’avait besoin que de l’affection qu’il n’avait pas et que même un majordome lui offrait mieux. Un jeune homme perdu, sans réelle raison de vivre, aveuglé par le luxe, l’argent. Il devenait petit à petit comme son père, la personne qu’il exécrait le plus au monde. Et ce mépris était partagé, car au vu des résultats scolaires de son fils, minables à en faire pâlir les plus cancres, le père commençait à dédaigner Mark qui n’était en réalité que le fruit de son idiotie, le surnommant : « Sa plus grande déception » ou autre « plus grand échec ».

Mais non, Mark n’était pas bête et très loin de là, il adorait faire rager son père pour qu’il se décide enfin à le sortir de ce lycée. D’ailleurs, les professeurs étaient choqués par le rapport entre l’élève et les résultats qui n’avaient rien à voir entre eux. C’est donc par un autre moyen qu’il décida de s’émanciper du système scolaire, en obligeant le directeur à l’expédier à la porte. C’est après diverses tentatives des plus farfelues que Mark orna son dossier scolaire des comportements les plus repoussants pour un directeur de lycée. Sorti du lycée et n’ayant donc rien à faire, le jeune homme baigna dans les milieux les plus illicites que l’Amérique puisse connaître. Il était déjà à 16 ans un véritable gourou de la vente d’armes, justifiant ces déplacements à son père pour vendre sa camelote par des petits voyages en colonie de vacances. De par son intelligence, il se hissa aux rangs de vendeurs d’armes les plus respectés alors qu’il n’avait même pas encore sa majorité, côtoyant les vendeurs les plus redoutables des Etats-Unis…

Mais il ne fut pas assez prudent, et c’est d’ailleurs son père qui découvrit ses activités illicites au moyen de taupes et autres stratagèmes fort onéreux et coûteux qui finirent par payer.
Il évita la prison et fut envoyé de force à un service militaire, qui ne lui plaisait pas vraiment.
Ne pouvant s’intégrer, il fut le souffre-douleur des futurs militaires américains, des gens sans avenir, dans un des camps d’entraînement les plus redoutés de l’Amérique entière. Pour se débarrasser de lui, son père avait frappé fort et cela n’avait fait qu’accentuer son mépris total pour son père qu’il surnommait à présent « le monstre ».
Il ne lui écrivit jamais, ne voulant que sa mort, c’était ce qui lui importait, alors qu’il atteignait sa majorité, l’héritage lui occupait l’esprit. Criblé de bleus, malmené par les instructeurs et autres sergents, il tenait. Mais contre toute attente, il fut reçu parmi les premiers de sa division, accédant à un titre qui ne manqua pas d’exaspérer de nouveau son père. Il fut transféré en Irak auprès des quelques amis et compatriotes qu’il avait réussi à se faire…
C’est dans la base américaine Falcon (zone connue sous le nom d’al Saqr en Irak), la plus grande base militaire américaine en Irak, située à 13 Km au sud de la "Zone Verte", une zone sous très haute surveillance où sont stationnés les unités militaires et diplomatiques US à Bagdad, que Mark a passé près d’un an. Une année assez sabbatique, puisque le jeune homme n’a pratiquement rien fait de concret niveau militaire, quelques patrouilles, rien de très excitant.

~

26 Octobre 2006, Base Falcon, Al Saqr.

Cher Journal.

J’assistai aujourd’hui à une fusillade entre armées américaines et forces irakiennes révolutionnaires se déroulant à l’extérieur du camp. Le sergent avait bien tenu à nous écarter de tout affrontement mais c’était sans compter sur le courage de ces irakiens que rien n’arrête. Ils n’ont pas peur de la mort, la seule chose qui leur importe, c’est qu’on s’en aille. Les coups de feu du premier régiment ne cessèrent de s’accroître au même rythme que l’enthousiasme de mes compatriotes. Depuis le temps qu’il n’y avait pas eu d’affrontement, c’était même à se demander pourquoi avoir intégré les GI ? Samuel Morrison, mon compagnon qui m’avait tout appris, comme un frère, était à mes côtés, toujours aussi indifférent au fait qu’il puisse y avoir un affrontement ou pas. Tout ce qu’il voulait, c’était finir son service, obéir aux ordres…
Le sergent n’avait qu’une seule phrase à la bouche lorsqu’il s’agissait du control de ses troupes, friands d’affrontements : « La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit. L’homme qui la manie. C'est une épée qui guérit ». Du par cœur, d’après les hommes, de la foutaise, moi j’y croyais, peut-être bien qu’au fond, lorsqu’il se retrouveraient criblés de balles ennemies, ils comprendraient enfin la phrase de Martin Luther King. Un de mes compatriotes sortit en désobéissant au sergent, froissant celui-ci par le non-respect de la règle d’or : « obéis à tes supérieurs ». Mais bientôt, tous mes compagnons se dirigèrent vers la sortie, ouvrant la porte blindée et montant dans les Jeep aux moteurs ronronnants, prêtes à rugir, marquer le sable de leurs marques de roues. On entendait déjà le bruit, les vibrations, le sable était agité, virevoltait dans tous les sens, aveuglant les soldats que j’avais finalement accompagnés dans leur opération irréfléchie. A chaque 3 mètres environ, une secousse remuait toute la Jeep, les dunes de sable rocailleuses menaçaient le puissant 4x4 Américain à tout moment. Le son des cris s’amplifia, bientôt le sable devint de plus en plus agité, on pouvait entendre des douilles tomber sur celui-ci dans un petit bruit sec et étouffé. La chaleur était aussi étouffante que caniculaire. Nous avancions sous ce soleil brûlant, notre peau souffrait, mais nous avancions, c’était comme ça qu’on avait apprit : « ne recule jamais ».
La Jeep s’arrêta soudain devant le lieu de l’affrontement, ou les nombreux combattants Irakiens affrontaient avec des armes presque primitives toutes les armes les plus sophistiquées de l’armée du pays le plus riche du monde. Je ne pouvais que saluer leur courage et je n’avait même pas besoin de cherche loin pour connaître la raison d’une pareille rage qui les encourageait à se battre. La rage, je la puisais de ma vie avant l’armée, mon père…
Je ne pouvais la contenir, il me fallait l’extérioriser quitte à massacrer de si courageux combattants. Je regardais encore une fois mon ami Samuel, avant de me lancer, à ses côtés à la bataille.

Mon arme, « Lauren » et moi étions comme fusionnés, c’était comme si toutes les balles que je tirais étaient prés calculés. Elles se logeaient dans le corps de mes ennemis, leurs cris, leur douleur, je la ressentais, elle me forçait à continuer.
Plusieurs camion apparurent dans l’horizon après 30 mn de combat acharné qui avaient donné d’horribles crampes à ma main à force de recharger mon arme. La trace de la culasse à verrou ornant ma main. Nous fûmes forcés, au vu de notre infériorité numérique de rebrousser chemin à bord de nos Jeeps. Je courus le plus vite possible, ils étaient bien armés, ils avaient un grand avantage sur nous, les pertes étaient effroyables, le sang de mes frères était sur le sol, je ne pouvais qu’être fier d’eux, fier de les avoir accompagnés dans leur dernier combat. J’étais à présent comme un de ces samouraïs Japonais que rien n’arrête, pas même la mort.
Nous devions temporiser en attendant l’arrivée des hélicoptères, mais je sentis la pire des douleurs à la jambe puis au bras, je tombai alors de la Jeep sans que Samuel ne puisse me rattraper à temps. Tordu par la douleur, je voyais mon régiment s’éloigner. Mes oreilles ne percevaient plus que des bruits de pas s’approchant, la mort s’approchant. Je rampai alors, effrayé par un aller sans retour. Je rampais à l’aide d’une main et d’un pied, mon sang recouvrait le sol sablonneux tel une ligne marquant le trajet que j’avais parcouru.
Ma bouche tout comme mes blessures et mes yeux s’emplirent du sable devenu agressif, je ne voyais rien, aveuglé par des larmes que je ne pus retenir, aveuglé par la douleur, aveuglé par ce sable…
Je rampais, mais c’était trop tard, lorsque dans un ultime effort je me retournais, je vis des dizaines de combattants Irakiens me menaçaient de leurs armes, armant à l’unisson leur Kalachnikovs dans une sorte de bruit que je ne connaissait que trop bien, celui précédant la mort. Puis ce fut le tour des balles qui partirent à une vitesse fulgurante, emplissant le décor ce jour-là magnifique des dunes sous le soleil d’une fumée envahissante. Je levais la main pour me protéger dans un espoir qui était à présent vain. Mais les balles ne me traversèrent pas, s’arrêtant dans un parallélisme parfait, comme si un mur les empêchait de l’atteindre. Je levais la main plus haut comme pour me protéger les yeux du soleil pour comprendre un peu mieux la situation, et les balles se levèrent aussi, suivant mon mouvement. Je serrais alors le poing, le refermant, puis le rouvris, et les balles se dirigèrent directement vers leurs expéditeurs les transperçant. Ma tête se mit à tourner, je m’évanouis…

C’est dans le camp de Kerbala, alors occupé par des forces Irakiennes que j’écris ces lignes qui seront mes dernières. Mon exécution a été signée aujourd’hui et ce fera dans la fin d’après midi.

Si vous trouvez un jour ce journal, sachez que c’est avec honneur que j’ai défendu mon honneur et prouvé à mon père qu’il ne devait être déçu que de lui-même.

~

Mark ne mourut pas ce soir là, la lame qui devait le traverser se tordit avant de lui couper la tête offrant un spectacle absolument extraordinaire à l’assemblée qui assistait à l’exécution. Mark s’échappa et rejoignit la base Falcon dans laquelle il fut accueilli en héros. Il fut décoré pour son courage et rentra chez lui, à New York, las de l’univers militaire.

Il revit son père et le tua, utilisant son pouvoir pour retirer sans empreinte la balle qui traversa son paternel. Il hérite donc d’un des groupes de multinationales les plus influentes, et d’une grande partie de New York, sans oublier une fortune colossale, déplorant la débilité de son père qui n’avait pas fait de testament l’empêchant d’hériter... Mais c’est une tendance au désir de pouvoir, de grandeur qui le pousse à se tourner petit à petit au mal du haut de son trône économique le rendant presque intouchable et grâce à son pouvoir avec lequel il est quasiment incontrôlable, tant son étendue et son danger est énorme.

Il vit aujourd'hui dans un immense Penthouse à Soho et a vendu le manoir.




Caractère :

Mark est, et a toujours été un garçon tourmenté, ne sachant où donner de la tête. Son caractère, il ne l’a pas choisi, la vie le lui a forgé. C’est un garçon assez fort, qui ne se laisse pas abattre, il est extrêmement courageux et ne recule devant rien. Il est entêté et rien ne peut lui retirer quelque chose de l’esprit. Il est vif et intelligent mais a une tendance à se reposer sur ses lauriers. C’est un jeune homme assez cruel, qui ne s’attache pas et qui a perdu, au long de sa vie, un peu de son humanité. Il se considère comme étant supérieur aux autres sur tous les fronts, que ce soit au niveau financier, mais aussi physique, puisqu’il a des capacités surhumaines. Il cherche le pouvoir, il a y développé une sorte d’avidité et son but étant d’en acquérir plus. A force de vouloir s’éloigner du caractère de son père, il est devenu inévitablement pareil. La difficulté qu’il a à s’attacher aux choses et d’autant plus grande que celle de lui retirer une chose à laquelle il tient. Malgré son enfance de pourri gâté, il n’a jamais eu la vie facile et son passage à l’armée lui a donné quelques valeurs : La loyauté, le non attachement aux choses, le fait de pouvoir affronter la mort sans la craindre…



Physique :

En voyant le visage angélique de Mark, on ne peut décidément pas faire le rapprochement entre lui et sa vie, et surtout son caractère. Il a des yeux bleus innocents comme ceux d’un petit garçon de 5 ans, des cheveux mi-longs blonds, un véritable petit ange… Mais les apparences sont toujours trompeuses, Mark, qui avait tout pour être un garçon parfait est loin de l’être. Il est assez grand de taille, ses sourcils sont droits et tracés, son nez est assez fin, il a quelques grains de beauté, il s’habille en costumes hors de prix, imperméables inabordables, tout ce qu’il trouve de plus cher en réalité…



Aime / N’aime Pas :



Mark aime le pouvoir, il est près a tout pour en acquérir. Il aime ce qu’il est, n’à aucun complexe, il est fier d’avoir des pouvoirs, quitte à en abuser parfois. C’est un jeune homme très rancunier, il se venge de tout ce qu’on lui fait. Il ne se verrait pas vivre sans sa fortune et évite au maximum de la perdre. Il aime le luxe, mais a une grande tendance à tout ce qui est maléfique, il peut tuer de sang-froid, sans regrets, car il est une chose dont il n’a plus peur du tout, c’est la mort.

Il n’aime pas être critiqué, dépassé par les évènements ou par une personne. Il a une vraie âme de leader.

Nom de la star sur l'avatar : Jake Gyllenhaal

[/i]Membre...

Prénom ou Surnom : Ghali
Age et sexe : 16 ans
Votre personnage préféré : President Petrelli
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Admin - C-Tru
L'admin


Nombre de messages : 27
Date d'inscription : 01/11/2007

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MessageSujet: Re: Mark Townsend [Terminé]   Mark Townsend [Terminé] Icon_minitimeVen 30 Nov - 9:05

Excellente fiche, très longue et très détaillée, mais allant droit au but!
[ Pas d'allusion à L'OM scratch ]

J'aime bien le personnage, le forum regorgeait depetits gentils qui ne font de mal à personne, enfin, on a là plusieurs bad guys, je ne peux que me réjouir, et m'attendre au meilleur niveau rpg, puisque maintenant, ce sera plus varié!

Je confirme!
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